To bib or not to bib ?

A un peu plus de 12 mois, ma Crapouille ne veut absolument pas attraper son biberon toute seule. 

Jusqu'à il y a peu, ma Nana buvait encore 4 biberons, plus ou moins grands selon le moment de la journée. Je lui proposais systématiquement son biberon en lui demandant "Tu veux boire ton biberon toute seule ?". Au début, la crise démarrait à vitesse grand V : elle se tortillait dans tous les sens dans la chaise haute, ou au sol, elle cachait son visage dans ses bras, elle hurlait et les larmes coulaient à grandes eaux. La simple question la mettait dans des états pas possibles. Je ne lui ai pas mis la pression. Je lui ai expliqué que si elle ne voulait pas, elle n'avait qu'à me montrer ce qu'elle préférait. En peu de temps, suite à l'apparition du biberon, elle est passée du Bébé hurlant sauvagement au Bébé ronchonnant doucement et me tendant les bras. Même si Bébé n'était définitivement pas décidée à boire seule son bib, c'était plutôt un grand pas.

Loin de moi l'idée de coincer mon Bébé dans une position, de bloquer le biberon à la verticale et de laisser ma Crevette se débrouiller pour boire comme elle peut. Mais je tenais à coeur de lui proposer de boire son biberon seule, parce que je savais qu'elle en était tout à fait capable : le biberon d'eau ne lui posait pas autant de problèmes. Elle l'avait à disposition, elle jouait un peu avec, et buvait un petit coup de temps en temps et jamais jamais elle n'a crisé en le voyant.

J'ai retenté parfois l'expérience. Je laissais le biberon à portée de Bébé, dans sa chambre, dans le séjour, dans son lit ou le canapé, et je vaquais à mes occupations à peine un ou deux mètres à côté. Ma Crapouille s'en approchait alors doucement, l'effleurait du bout du doigt parfois. Au mieux, elle se contentait de retourner et dessiner deux grandes flaques de lait autour de ses jambes, puis de laisser parler sa créativité du bout des doigts en donnant vie à des formes bizarroïdes (de l'art laitesque abstrait). Mais bien souvent, elle se mettait à agiter les bras comme si elle voulait s'envoler, à pleurer et crier à grands renforts de "Maman !". Je me mettais à sa hauteur, la rassurais. Certains y verront le craquage d'une Maman qui répond aux caprices de son Bébé, d'autres le traduiront comme une réponse à l'inconfort d'un petit bout. Ma Nana se mettait dans un tel état : elle n'était finalement pas prête, elle était encore en demande de ce moment à deux.

Le moment à deux, elle l'accepte avec Maman, avec Papa, mais aussi avec ses tantes, ou ses grands-mères... tant qu'elle est bien calée dans de grands bras connus, elle se sent bien. Elle pose alors sa petite main sur celle de l'adulte, l'effleure ou la tapote doucement. Ainsi, elle buvait son biberon tranquillement. Elle posait parfois ses mains sur le biberon, et quand on cherchait à le lui glisser dans ses petites mains, elle lâchait tout. Et pourtant, quand il était vide, elle ne se posait plus de question : elle l'attrapait comme il faut, le levait et soulevait, le portait à sa bouche en basculant sa tête, et souriait... Mademoiselle jouait et en jouait.

Depuis 4 jours, je tente une autre approche. Le matin, quand je monte la chercher, j'embarque le biberon du petit-déjeuner. Quand j'ouvre la porte, elle le voit et pousse de petits cris. Je le pose au sol, la sors du lit, on se fait notre petit câlin du matin, et je la pose en lui expliquant que je vais chercher sa tenue. 3 fois sur 4, elle m'a suivie, en ayant la tête ailleurs : son corps 4 pattait à TGV dans un sens, sa tête était tournée vers son biberon. Elle s'est mangé un gros panda en peluche, aucun bébé ni animal n'a été maltraité. 1 fois sur 4, elle s'est postée à côté du biberon et a très très très légèrement ronchonné, en plus ou moins articulant un truc incompréhensible pour un adulte (des idiots, ces adultes). 4 fois sur 4, elle l'a empoigné et porté à sa bouche en moins de 10 secondes de râlage.

Elle sautille sur ses genoux en buvant son biberon, elle cherche visiblement une position confortable, elle penche sa tête en arrière et manque de basculer. Je l'installe dans son transat, et... Ma Nana, ça fait 4 matins qu'elle boit son biberon toute seule dans son transat. Avec Maman à côté. Et c'est visiblement fun, de le tenir à deux mains, de le tenir à une main, de le secouer un petit coup avant de le remettre en bouche, de le tendre à Maman avant de le reprendre rapidement en se marrant,...

Et mon Bébé qui boit son biberon toute seule... c'est loin d'être lait. (excuse-moi) (je ne la referai plus)

Et ton Bébé s'est mis à boire son biberon seul de lui-même ? Avec un petit coup de pouce ? Tu as fait le choix de continuer à partager ce moment à deux ?

Le réducteur de baignoire, l'agrandisseur d'économies.

Le 1er Octobre dernier, à l'occasion de mon article "Le vide-grenier caritatif pour soutenir la Marche des Bébés : nous y étions !", je t'écrivais que j'étais reviendue avec : "une barrière de bain, The Original Baby Dam (prix d'origine : 40 €)." Et j'ajoutais même que "Je lorgnais sur les barrières depuis un bout de temps, mais ayant une baignoire d'angle, vu le prix que cela coûte, j'avais peur que ça ne marche pas ; et là, même pas peur."

Oué, même pas peur. Et j'ai bien fait.

• Le réducteur de baignoire, l'agrandisseur d'économies.

 

La barrière de bain, ou réducteur de baignoire (son nom vient directement de sa fonction, donc je te laisse imaginer le principe), c'est pas beaucoup très très connu, et pourtant elle a de quoi se défendre face à une baignoire spéciale Bébé.

Tu peux y gagner sur un tas de points :
- t'as déjà plein de choses à emmener quand tu pars en voyage : un réducteur tout plat prend bien moins de place qu'une baignoire,
- d'ailleurs, un réducteur tout plat prend bien moins de place qu'une baignoire, dans la salle de bain (chez nous, il est simplement posé sur le rebord de la baignoire),
- Bébé grandit, c'est un fait : à un moment, il ne rentrera plus dans sa petite baignoire, mais tu pourras toujours décaler le réducteur de bain (utilisable dès la naissance) comme bon te semble, car ça te fait des économies de :

- temps : tu ne remplis pas toute la baignoire,

- eau : moins d'eau utilisée pour obtenir une même hauteur,

- énergie : moins d'eau utilisée, moins d'eau chauffée,

- argent.

La barrière de bain s'adapte à toutes les baignoires standards. Ca aurait été trop facile : nous avons une baignoire d'angle. Elle épouse parfaitement les formes des parfois droites. Ca aurait été trop facile : le fond de notre baignoire est à reliefs. Mais je te le dis, même pas peur ! En vrai, la possibilité de l'acquérir pour 15 € grâce au don de la boutique en ligne Au pied de l'arc-en-ciel en tant que soutien de la Marche des Bébés, a été l'occasion.

J'ai appelé le Chiri pour les dernières vérifications : mesurer la largeur de notre baignoire, là où on voudrait positionner la barrière, histoire d'être sûre que la barrière soit plus grande. C'est tout bon : 55 cm de largeur de baignoire, pour une barrière mesurant environ 70 cm.

A peine ramenée à la maison, que j'ai transformé ma petite grande baignoire familiale en grande petite baignoire pour Bébé.

• La barrière de bain, ça ne tombe pas à l'eau.

La vérité vraie ? La première fois que je l'ai testée, je me suis viandée : la barrière a tenu le coup, mais l'eau se faisait la malle discretos. La première fois que Papa l'a testée, il s'est viandé : cette fois, c'est la barrière qui a lâché et l'eau s'est fait la malle pas vraiment discretos.

Tout est dans le coup de main, et c'est plutôt facile. Si si. Tu mouilles les deux grosses ventouses, tu courbes la barrière et la places au fond de ta baignoire en appuyant bien sur les ventouses, et tu laisses la barrière se décourber et adhérer toute seule aux parois. Tu peux appuyer un petit coup dessus quand même pour vérifier que c'est tout bon. Là où on s'est viandé, c'est avec les gros reliefs au fond de notre baignoire (tu vois, c'est pas de notre faute) qui ne permettaient pas aux ventouses d'adhérer totalement.

La pose ne prend vraiment que quelques secondes. Et hop, te voilà à remplir le bain de Bébé. Il y a une hauteur limite à ne pas dépasser. Enfin, une pour le tout petit petit Bébé, signalée par un trou, et une pour le Bébé un peu plus grand qui tient assis, signalée par un trait, le trou est alors bouchonné. Pour Lana, c'est laaaaargement suffisant.

Avec une baignoire standard, tu peux placer ta barrière où tu veux pour agrandir plus ou moins la piscine de ton Bébé. Avec notre baignoire d'angle, il suffira de retourner la barrière.

Il est déjà arrivé que ma Crapouille donne des coups de petons dans la barrière, ou s'appuie dessus. Même pas mon poids plume l'a fait bouger. Bon après, elle n'a pas engagé un combat de boxe non plus. Et toujours la vérité vraie, en bientôt 3 mois d'utilisation, on a mal mis la barrière 3 ou 4 fois, toujours à cause du relief du fond de notre baignoire.

D'ailleurs, en parlant du vidage de l'eau : il suffit de tirer sur les piou-pious au-dessus des ventouses. C'est tout.

• On récapépète.

• Les Etincelles :

- La barrière prend très peu de place,
- Elle peut se placer où tu veux dans la baignoire (à partir du moment où tu as une baignoire standard),
- Tu gagnes du temps, de l'eau, de l'énergie, de l'argent,
- Elle s'adapte à toutes les baignoires standards,
- La mise en place est plutôt facile,
- La barrière tient plutôt bien,
- Le bain est facile à vider.

• Les Moins :

- Si t'as pas de baignoire, t'as pas de réducteur de baignoire (étonnant ?),
- Attention avec les parois pas lisses,
- Le prix est assez élevé : 40 €, ce qui plus cher qu'une baignoire Bébé.

Bon, okay, avec la barrière de bain, tu ne peux pas te faire une petite séance trempette sur la terrasse, et tu ne peux pas donner le bain à Bébé si tu n'as pas de baignoire (et oué). Mais la barrière de bain, c'est quand même bien.

La barrière de bain, tu connaissais ? Tu en penses quoi ?

Bien au chaud avec MySenses.

La marque qui a habillé mon Bébé sur les plages du Sud, est la même qui la couvre sous le froid hivernal. MySenses assurait avec son maillot de bain, MySenses est numéro un avec son ensemble écharpe - moufles - bonnet.

• MySenses, la marque qui n'a pas froid.

MySenses, tu connais maintenant ? La marque aux vêtements intelligents qui te disent si ton enfant a trop chaud avec la collection Temp', si les rayons UV sont trop élevés avec la collection Sun, si l'eau du bain est trop chaude avec la collection Hot, s'il fait trop froid avec la collection Cold. Et ce n'est pas parce que ce sont des vêtements intelligents, que ce sont des vêtements moches, loiiiiin de là. Moi je craque totalement sur la combinaison pilote fourrure blanche ! 

Et il y a maintenant presque un an, j'ai gagné un ensemble écharpe - moufles - bonnet sur le blog de Cranemou. J'ai sautillé de bonheur quand j'ai reçu le lot dans sa grande trousse (ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !), mais coup de pas de bol, il n'a plus fait très froid après cette date là. Du coup, l'ensemble 3-6 mois a estivé (hiberné pendant l'été, ça se dit comme ça ?) au placard. Tout plein de mois après, il fait de nouveau froid (youpi !) (ou pas). J'ai eu l'idée folle de sortir l'ensemble pour ma Crapouille, maintenant âgée d'un an, et, merveille, tout lui va comme un gant.

A nous la technologie Cold : pratique, lors d'une balade dans le dehors pas très chaud, de vérifier que les températures ne sont pas trop basses. Si la vignette devient bleue, hop là, on se trouve vite un bon gros radiateur. 

Moi aussi je veux un bonnet à oreilles intelligent comme ça.

• Un Bébé au chaud dans le froid.

Bon, je t'avoue, j'étais quand même un peu très contente quand le froid a rougi le bout du nez de ma Crevette. Je croisais fort les doigts pour que tout lui aille et...

Verdict :

- l'écharpe : aucun problème, elle est géniale et elle la gardera même quelques années. Un gros coup de cœur pour son système de "fermage" : l'écharpe est fendue à l'une des extrémités en son milieu, et il suffit d'y glisser l'autre extrémité. Pas de gros nœud avec lequel galérer, pas d'écharpe qui glisse sans arrêt.

- les moufles : les grandes mains de ma Crapouille y trouvent entièrement une place. Malheureusement la Demoiselle semble penser le contraire, car elle ne les garde que 2 minutes et demi. Fort heureusement, le cordon reliant les moufles permet de ne pas en perdre une. Et de garder espoir.

- le bonnet : ma Nana a une grosse tête (bien remplie, évidemment), et pourtant le bonnet couvre bien et les oreilles et la nuque. Le petit cordon permettant de l'attacher n'est laaaaargement pas de trop : le bonnet est bien vissé sur sa petite grosse tête et tient bien en place. Et c'est sur le bonnet qu'on retrouve l'indicateur intelligent, propre à la marque. Je n'ai jamais eu l'occasion de le voir virer bleu (sauf quand je l'ai mis dans le congélo pour le tester). Plus l'icône devient foncée, plus il fait froid.

L'ensemble est sincèrement tout doux, c'est tout confort et pour Bébé, et pour Papa Maman. Et il a la classe : chaque élément a droit à ses petites oreilles d'ourson trop mignon. Il existe en taille 3-6 mois ou 6-12 mois, mais aussi en rose ou bleu en polaire et sans les noreilles. Personnellement, mon gros gros coup de cœur reste pour le blanc top moumouté. Ca tombe bien hein.

• On récapépète.

• Les Etincelles :

- L'ensemble est complet,

- C'est tout doux,

- C'est tout beau,

- C'est bien coupé,

- C'est bien pensé (le cordon des moufles, le cordon du bonnet, la fente de l'écharpe),

- La technologie Cold est bien pratique.

- 18,90 €, pour un bonnet + une écharpe + une paire de moufles, je trouve ça plutôt accessible.

• Les Moins :

- La taille la plus grande est 6-12 mois, alors que je suis sûûûûûre qu'il y a de la demande pour les plus grands (moi par exemple) (oui, pour ma tête à moi).

Bon, faut pas abuser, faut bien se faire une raison : ma Nana ne rentrera plus dans son ensemble l'hiver prochain, et ça c'est triste. Parce qu'il est fichtrement bien.

Alors, toi aussi tu vas t'intéresser à ces vêtements intelligents ? T'en penses quoi de ces vignettes indicateurs ?

Papa Noël vit dans le 77. A peu près.

Tu te prépares à une grande journée canapé, avec petite sortie pour aller élire le nouveau maire de ta ville, et tu te retrouves à rencontrer deux Papas Noël dans la même journée. Ca se passe comme ça dans le 77.

Le matin, Chiri rentre en m'informant qu'un marché de Noël a pris place dans le centre-ville. On y est allé l'année dernière et assez naturellement on se l'est programmé pour l'après-midi. Et c'était pas terrible. On a fait le tour en une petite dizaine de minutes, s'arrêtant plus pour se demander le pourquoi du comment de la présence de certains stands, notant plusieurs espaces vides, et le manque de chaleur, l'absence d'une petite étincelle de magie. Papa Noël avait beau distribuer des bonbons, ça ne changeait rien. On s'est décidé sur qui allait grimper sur la carriole avec Bébé (moiiiiiiiiii !) et on a attendu la fin du tour précédent sagement. Avant de voir débarquer une quinzaine de personnes accourant en même temps que la dite carriole pour y prendre place les premières en jouant des coudes. J'ai regardé mon Bébé, j'ai regardé ces gens et j'ai rendu les armes : "Je bataillerai l'année prochaine." Monsieur m'a parlé d'une carriole à Provins, et le temps du trajet plus tard, on s'est retrouvé sur place.

On ne savait que peu de choses du Marché de Provins avant de s'y rendre. Juste qu'il y avait :

- un Marché de Noël en ville haute : avec un Marché médiéval, une crèche vivante, une exposition de crèches du monde, des promenades animées aux flambeaux,

- et un Marché de Noël en ville basse : avec une patinoire, un Marché de Noël, une vente de sapins, un Chalet du Père Noël et de contes pour enfants, un carrousel de petits chevaux à pédales, une promenade en calèche du Père Noël, des contes dans les souterrains, et des choses dans la Roseraie.

Peu de temps devant nous, je voulais la calèche (j'ai un peu beaucoup tendance à faire des fixettes) (mais c'est pour ma Crapouille, tu comprends), nous sommes allés au Marché de Noël de la ville basse. Et wow quoi. L'étincelle de la magie, on se l'est prise directement, à peine arrivés. 

 

Bon, tu fermes un peu les yeux devant la patinoire en plastique (qui suffit amplement aux yeux de nos loulous), mais le cadre était idéal. Aux pieds de l'église, se présentaient une quarantaine de petits chalets habillés de loupiottes et d'autres décors Noëlesques. Tous étaient occupés et vivants : vins chauds, thés de Noël, spécialités gastronomiques, jouets en bois, bijoux, objets de décoration, livres,... En se baladant, on a croisé Papa Noël qui faisait défiler les enfants sur ses genoux et qui offrait des bonbons, mais aussi des elfes. Mais pas des elfes du Père Noël, plus des elfes du genre du Seigneur des anneaux. Et aussi, des gens cachés sous leur cape, des personnes habillées de beaux costumes et coiffées de diadèmes parés de pierres précieuses (forcément),... L'effet Provins.

Il était ultra plaisant de se balader dans les allées du Marché : la décoration était là, l'ambiance était là, les stands étaient là, la météo n'était pas là, mais ça n'était pas grave. Les sourires de Lana étaient là.

Niveau animations, les petits et grands enfants s'éclataient :

- sur la patinoire, que même Lana rêvait déjà de tester, à 2 € les 15 minutes,

- sur les carrousels de petits chevaux à pédales ("Huuuue !", "Va moins vite steplé !",...), que même Maman va apprendre à sa fille à pédaler pour l'année prochaine, à 2,50 € les 10 minutes (de mémoire à trous), 

- sous le chalet de contes dont l'entrée était gratuite (pas eu le temps de tester, mais ça chantait joyeusement quand on est passé devant),

- et... dans la calèche du Père Noël. Je suis montée dans la calèche du Père Noël. Enfin, nous sommes montés dans la calèche du Père Noël, oui ! Nous avons fait connaissance avec les deux magnifiques chevaux qui nous ont offert une jolie balade. Lana a été d'un calme impressionnant, se laissant bercer par le mouvement de la calèche. Une balade d'un autre temps, au milieu de chariots bien d'aujourd'hui.

Une gaufre pour Monsieur, un livre pour notre Crapouille, un cookie pour moi plus tard, on a eu un regard pour la navette gratuite qui fait le lien entre le Marché de la ville basse et celui de la ville haute, mais il fallait rentrer. Oui, on a loupé les troubadours, les jongleurs, les cracheurs de feu, les échassiers et certainement de magnifiques stands médiévaux de la ville haute tenus par des calligraphes, des peausetiers, des chapeliers, des spécialistes de l'héraldique, des forgerons, des ébénistes, des..., mais on s'est fait une promesse : on reviendra l'année prochaine.

Papa Noël vit dans le 77, c'est obligé. Et maintenant qu'on a son adresse, on ne le loupera plus.

Le Marché de Noël de Provins, tu connaissais ? Tu as trouvé l'adresse de Papa Noël dans ton département ?

Pas à pas.

Je suis une chialeuse. J'ai dit au Papa "Je vais chialer, je peux pas m'en empêcher !", pour extérioriser, pour justement ne pas chialer. Et j'ai chialé. Pas à grosses larmes. Mais la cascade de petites larmes. Ma Crapouille l'a fait. 

Le Papa l'a déposée. Il la tenait fermement, il l'a encouragée : "Allez Crevette, tu peux le faire !" et moi je me répétais "Tu peux le faire ! Tu peux le faire !". Et je tremblotais. Et elle, elle souriait. Je me demande encore si elle a compris ce qu'on lui racontait, je me demande si un élan d'assurance s'est emparé d'elle pile à ce moment là, je me demande si elle attendait que Papa et Maman soient là tous les deux pour se lancer, je me demande si elle savait qu'elle allait le faire,... Le Papa l'a lâchée. Et elle, elle se marrait. Et elle l'a fait : le premier pas. Le premier, avant le deuxième, avant le troisième, avant le quatrième... 

Je ne sais même plus si elle marchait vite ou doucement. J'ai pensé à tellement de choses en la regardant faire, et je criais bêtement : "Allez mon cœur !". Intérieurement ou ouvertement ? Je ne sais plus. C'était une espèce de ralenti accéléré. Ou d'accéléré ralenti. Accompagné de son mélange de sentiments qui va bien avec : fierté et peur, le mix qui poursuit une Maman toute sa vie durant. Au bout du quatrième pas, je l'ai vue perdre l'équilibre, se stabiliser, et finalement flêchir les genoux pour se laisser tomber sur son popotin rembourré. Elle nous regardait comme si c'était normal. Et elle a recommencé. 

Une deuxième fois. Une troisième fois. 

Hier soir... Quatre petits pas... multipliés trois fois... à pieds de pyjama... en quittant les bras de Papa... Des larmes de joie.

Capillairement nôtre.

J'ai souvent des remarques sur l'abondante chevelure de ma Princesse, prête à rivaliser avec Raiponce. Petite blondinette contrastant avec la grande brune que je suis, aux poils de tête tout courts et peu abondants (oui, c'était une blagounette le coup de Raiponce), ma Nana ne peut pas passer à côté.

Tu sais, avant même que ma Crapouille naisse, on m'a fait des commentaires sur la couleur de ses cheveux. Non, nous n'avons pas procédé à une échographie de haute technologie. C'est juste que la sage-femme a eu tout le temps d'analyser la texture, la couleur, la longueur, la densité des cheveux de mon Bébé pendant l'accouchement. En même temps, c'est moi qui l'ai lancée...

"Je vois les cheveux !" qu'elle m'a dit (oui, comme dans les films)

"Ah oui ? Ils sont de quelle couleur alors ?" que je lui ai répondu en riant (oui oui, j'ai ri entre deux poussées).

Elle s'est dépêchée de me répondre, - elle ne savait pas encore qu'elle avait carrément le temps -, que mon Bébé (alors pas encore nommé) avait "Les cheveux clairs ! Comme son Papa !"

Et bien, il a dû se passer un truc à ma sortie, ça doit être une porte magique qui change la couleur des cheveux, car quand j'ai récupéré mon Bébé dans les bras, elle était brune. Bien brune. Comme sa Maman. 

Elle était plutôt dans le camp des bébés chevelus : il y a des bébés bien plus garnis, mais aussi bien moins. Et le temps a filé, les mois se sont succédé, et il s'est passé une drôle de chose. Enfin, pas si drôle. Mon Bébé avait de moins en moins de cheveux. Okay, c'est à peu près normal, ça arrive à quasi tous les bébés, avec les frottements, leurs poils de tête tous fragiles se cassent et tombent. Sauf que le phénomène ne se limitait pas à derrière sa tête, il s'était généralisé : elle n'avait plus grand chose sur le caillou. Et je-ne-sais-comment ma Nana s'est retrouvée blonde. Bien blonde. Encore plus blonde que son Papa.

Et j'en ris. Jusqu'à aujourd'hui, quand on me faisait remarquer qu'elle n'a pas beaucoup de cheveux pour un Bébé d'un an, je répondais en me marrant que "Pourtant je tire tous les jours dessus", et je racontais la vérité vraie. Oui, quand même, un peu. Et maintenant, je pourrais répondre : "Ils sont peut-être courts, mais maintenant une barrette peut tenir plusieurs minutes !"

Hein, que ça lui va bien ? Bon, il faut que je tire encore un peu dessus tous les jours, je te l'accorde. Et quand on me regarde, on regarde mon Bébé, on me regarde, on regarde mon Bébé et on me demande : "Le Papa est blond ?", je peux continuer à répondre, avec le sourire, que "Non, mais le facteur oui."

Et les histoires de cheveux de Bébé par chez Toi, ça raconte quoi ?

La Pepp de Nuna de Lana.

Tu sais, il y a peau de temps, un nouveau bébé est entré dans nos vies. C'est un des plus beaux bébés du monde (après ma Nana, forcément), il fait tout ce qu'on lui demande, il ne prend pas beaucoup de place, il est là quand on a besoin de lui, et il est tout bonheur avec ma Crapouille. Mon nouveau bébé, c'est grâce au facteur. Et oui, je l'ai gagné, sur le site de Consobaby, il s'agit de la poussette Pepp de Nuna. Et tu verras, c'est que du bonheur.

• La Pepp de Nuna.

La marque Nuna, il y a des chances que tu connaisses. Elle développe des équipements de puériculture, en gardant en tête l'envie d'apporter une vraie solution : des produits simples, pratiques et design. Et c'est comme ça que sont apparus le transat Leaf, la chaise haute Zaaz, ou encore le lit magique Sena.

La poussette Pepp, elle est à l'image de ses frères et soeurs Nuna : elle est trop belle, trop jolie, trop stylée, trop la classe, trop design. Je l'ai reçue en coloris "Sand" (il y a 9 coloris possibles). Ce n'est pas un gros gabarit, et pourtant elle en a dans le coffre : oué, elle cache fichtrement bien son jeu.

Elle est équipée d'un tas de petits trucs, qui te simplifient la vie, l'air de rien. Cette poussette à l'allure épurée répondrait à tout, c'est la marque qui le dit.

La Pepp est destinée aux bébés de la naissance (surprenant ? je t'explique après) jusqu'aux petits bouts de 18 kg environ, enfin c'est juste pour te dire que tu as de la marge. Avec ma 9 kg, on est bien dans les clous.

Pour remettre les choses un peu beaucoup dans leur contexte, sache qu'avant la poussette Pepp de Nuna, je jonglais entre la poussette 4x4 de Bébé Confort, et une poussette canne simpliste, prêtées par Grande Sœur Formidable. C'est pas bien, surtout que toutes les trois ne jouent pas dans la même catégorie, mais j'ai un peu tendance à les comparer, à voir ce que j'y gagne ou y perds au change. Alors, la Pepp de Nuna, je la garde ou je la garde ?

• La Nuna de ma Nana.

Amis pas doués du montage, il n'y a aucune crainte à avoir : la poussette est ultra facile à monter, à plier et déplier. Quand tu la sors du carton d'emballage, il te suffit de descratcher d'un côté, de ramener le guidon vers toi, et roule ma poule la poussette fait le reste du travail, elle clic clic toute seule même. Il ne reste alors qu'à fixer la capote, 2 minutes et 30 secondes montre en main. Pour la replier, tu peux laisser la capote, tu viens tirer sur un piou-piou qui se cache sous la poussette du côté gauche, un piou-piou qui se cache sous la poussette du côté droit, et hop elle se plie. Bon, du coup, tu as besoin de tes deux mains. Mais il y a quelques jours, j'ai eu la chaaaaaance de tester, le sac à langer dans une main, le Bébé accroché à la jambe opposée, dans le RER qui bouge, au milieu d'une foule qui te regarde te débrouiller seule, et la facilité de la manipulation est plus qu'appréciable.

Une fois pliée, non seulement elle ne prend pas beaucoup de place et se glisse ultra facilement dans le coffre de la voiture, mais en plus elle peut tenir debout toute seule : un excellent point quand tu as un petit chez toi. Mais même dépliée, elle ne prend pas beaucoup de place : chez nous, elle est prête à l'emploi, dans l'entrée. Et même pas on a besoin de rentrer le ventre ou de serrer les fesses quand on veut atteindre la porte d'entrée. C'est qu'elle est deux fois moins grosse que la Loola, qui trônait là avant. Mais ça, c'était avant.

Ne reste alors qu'à glisser le Bébé dedans. Enfin, avant, un tas de choix s'offre à toi :

- tu peux choisir la hauteur des bretelles du harnais (3 choix possibles) et la longueur aussi (système classique),

- le réglage de la hauteur de guidon, il est trop chouette : pas de toute petite bille à entrer dans le tout petit trou à l'aveuglette, tu tires deux manettes, tu tires ou pousses le guidon, tu rabaisses les manettes. Et enfin, Papa et Moi avons une poussette à notre (grande) taille,

- tu peux choisir l'inclinaison du hamac : à la verticale, pour les plus grands, semi-allongée la préférée de ma crapouille, allongée pour les tout-petits-petits. Lana qui refusait jusque là de dodoter dans sa poussette, accepte de fermer l’œil dans la Pepp en position allongée. C'est magique. L'inclinaison se choisit avec des grosses fermetures éclairs toutes costautes, à fermer ou ouvrir selon la position souhaitée.

Un harnais 5 points assure la sécurité de l'enfant. Il peut paraitre casse-tête de prime abord, mais c'est un casse-tête pas casse-tête : un bidule à glisser dans un machin x 3, chaque fois dans le bon sens. C'est juste un petit coup de main à prendre, surtout qu'il permet de ne pas tordre les bras de Bébé dans tous les sens pour pouvoir enfiler les bretelles. 

J'ai réglé ce qu'il y avait à régler. Et on a fait notre première sortie. Et je me suis mangé la première bordure venue. Oups. Au moins le harnais de sécurité, c'est du costaud. Mais j'étais un peu beaucoup très habituée aux grosses roues 4x4 de la Loola : avec elle, même pas besoin de lever la poussette quand s'approchait une bordure. Les roues de la Pepp sont beaucoup beaucoup beaucoup plus petites et elles sont toutes lisses. Je t'avoue que je suis un peu partagée quant à la matière. Quand je roule, on m'entend arriver. Elle peine un peu avec les pavés (et des pavés il y en a un peu partout par chez moi) et les trottoirs piégés. Et puis, un jour, j'ai entendu "clic clic clic", j'ai cherché longuement d'où ça pouvait venir : plein de petits cailloux étaient enfoncés dans la roue droite. Je les ai enlevés et ça a fait apparaître plein de petits trous... bouh.

L'inconvénient de ses roues en fait un total avantage : avec ses petites roues, mais aussi son petit poids et son petit gabarit, la Pepp est une pure citadine : il est aisé de circuler avec elle dans les rayons des magasins, et elle passe à toutes les caisses, même les plus étroites, en ville elle gère parfaitement les trottoirs tout étroits et je ne me mange plus de bordure (j'ai fait des progrès). Ses roues avant tournent dans tous les sens, et rendent la poussette hyper maniable, hyper fastoche à manipuler. Avec une seule main, je confirme : tu peux téléphoner, faire coucou Bébé, te curer le nez,... Elle parait vraiment légère. Elle te fait un 360 ° en deux temps trois mouvements et en même temps, elle est hyper stable. Ajouté à ça, le tissu agréable, le rembourrage de l'assise, c'est le confort assuré, et pour Bébé, et pour Maman.

Et surtout la Pepp est légère, légèèèèère, avec ses 8 kg. Je suis amenée à m'amuser à traverser en long, en large et en travers les souterrains des métros parisiens. Devant un escalier, je ne cherche plus systématiquement de l'aide extérieure, et même si j'ai de tous petits biscottos, je suis capable de porter ma poussette seule avec Bébé dedans. 

Autre truc trop bien, il y a une pédale unique pour bloquer les roues et les débloquer. Elle est placée au milieu, et est assez large : petit ou grand panard, impossible de la louper.

Côté accessoires, elle n'a pas à rougir. Ma poussette canne n'en avait pas, du tout. La Pepp a :

- un panier sous la poussette : petit, mais hyper pratique, surtout pour y glisser...

- la protection pluie : avec son sac de rangement. Elle est un peu casse-petons à installer : un scratch à glisser dans un piou piou tout fin bien planqué. Mais elle est hyper design, très couvrante, pratique, et il n'y a pas de risque qu'il s'envole ou vienne se coller à Bébé.

- le repose-pieds protège le panier,

- la capote protège bien du vent, du soleil et s'associe bien avec la protection pluie ; par contre, je n'ai pas compris l'utilité de la petite fenêtre (trois à quatre têtes trop basses pour Papa et Maman),

- la visière sous la capote, que j'ai découverte il y a peu (ça m'apprendra à ne jamais lire le mode d'emploi avant).

• On récapépète.

• Les Etincelles :

- Le hamac s'incline sur 3 positions,

- Elle est légère avec ses 8 kg,
- Elle est vraiment hyper maniable, une seule main suffit,
- C'est du grand confort pour Maman,
- Elle semble confortable pour Bébé,
- Elle est stable,
- Elle est passe-partout du fait de son petit gabarit,

- Elle ne prend pas beaucoup de place une fois pliée, et peut se glisser dans n'importe quel coffre de voiture,

- Elle tient debout une fois pliée, pour se ranger partout,

- Le guidon est ajustable en hauteur,

- Elle est équipée d'un harnais de sécurité 5 points,

- Pour plus de sécurité, le harnais est ajustable en hauteur et en longueur,
- Il n'y a qu'une seule pédale : le frein, et elle est bien large,

- Elle convient aux enfants de la naissance jusque 18 kg,
- Elle a plein de petits accessoires bien pratiques : panier, protection pluie, repose-pieds, capote et visière,

- Il existe d'autres accessoires : chancelière (je la veuuuuuuux), adaptateurs pour siège auto, coussin, moustiquaire, sac de transport, ...

- Elle est belle.

• Les Moins :

- Les roues font pas mal de bruit sur la plupart des revêtements,

- C'est une pure citadine, elle a quelques difficultés sur les pavés ou les chaussées trouées, mais arrive tout de même à bout des chemins à bosses,

- Les premiers prix sont à 191 €, mais elle est rapidement rentabilisée (et tu peux l'utiliser dès la naissance).

La poussette canne est rangée définitivement. La Loola est en attente d'une balade avec terrains accidentés. La Pepp a pris la place de la privilégiée dans l'entrée. On l'a complètement adoptée. Elle a hérité de la plaque d'immatriculation : c'est la Nuna de Lana.

La poussette Pepp de Nuna, tu connaissais ? Tu en penses quoi ?

Tout le monde ouvre grand la bouche pour Babybio.

Je t'avoue que question miamage, ma Crapouille, maintenant 1 an et quelques jours, n'a jamais jamais été difficile du palais : elle accepte de goûter tout ce qu'on lui propose, semble savourer machouillement la première cuillerée et réclame les suivantes systématiquement. Mais si en plus du bon, je peux lui donner du  beau et du bio, c'est encore mieux. Babybio m'a contactée il y a quelques semaines pour que je Lana teste quelques produits de la marque. On a fait ça dans les règles de l'art...

• Babybio, c'est beau et c'est bio.

Babybio, c'est de l'alimentation bio pour Bébé. C'est une entreprise française qui propose du miam pour les tous-petits dès la naissance, et les un peu moins petits, avec du lait infantile, des céréales, des biscuits, des jus de fruits, des crèmes desserts, des soupes, des pots de légumes, des compotes de fruits, des bols de petits plats,... et tout ça, bio s'il-te-plaît. Et même si ça ne te plaît pas en fait.

Tu peux découvrir tous les produits de la marque sur le site qui est franchement super bien fait : tu y trouveras plein d'informations sur les nombreux produits, des idées de recettes, des réponses aux questions de parents à propos de l'alimentation, les points de vente, les engagements de Babybio,...

La marque est soumise à une double réglementation : celle de l’alimentation infantile et celle de l’agriculture biologique. Et elle ne fait pas les choses à moitié. Le mode de production biologique des produits Babybio est garanti par le logo AB, le logo Européen et certifié par Ecocert sas F-32600. Babybio sélectionne ses producteurs bio en non seulement favorisant des produits de qualité, mais aussi en privilégiant les producteurs locaux (surtout le sud-ouest de la France, et quand ce n'est pas possible les pays limitrophes, notamment l'Espagne et l'Australie). Et même que tu peux trouver l'origine des ingrédients directement sur les étiquettes des petits pots, des soupes et des assiettes. Ah ben oui, ils sont comme ça chez Babybio.

Ils mélangent tous ces bons ingrédients, et ils ajoutent... ben rien : pas de sucre, pas de sel, pas d'épaississants ajoutés. 

La santé et l'avenir de Bébé sont préservés avec cette alimentation saine et respectueuse de l'environnement. C'est beau. Mais restait à savoir si c'était bon. Lana a testé (et moi aussi un peu, je n'ai pas résisté)...

• Tout le monde ouvre grand la bouche pour Babybio, surtout Lana.

Lana a testé, et elle ne parle pas encore, mais je t'assure qu'elle a su exprimer son ressenti... à coups de hum hum, mam-mam, de bouche grande ouverte et de râlage si ça n'allait pas assez vite... Je te laisse admirer le résultat. Et oui elle a fait un concours du "j'ouvre le plus grand possible ma bouche" ! (Elle a gagné hein ? Avec la compote de pommes, moi je dis !)

Bon, par contre, elle n'est pas allée plus loin que le hum hum, mam-mam, la bouche grande ouverte et le râlage, et j'ai dû me sacrifier pour goûter. Et même pas je me suis contentée du sucré, j'ai tout goûté (et ma Crapouille me faisait la tête en me regardant faire). Et figure toi que, même si ça n'est pas très beau esthétiquement parlant, c'est... bon ! Je n'ai pas un palais particulièrement fin (j'ai plus un palais faim), mais je pouvais reconnaitre plusieurs des ingrédients facilement, un peu comme avec mes purées ou compotes maison (oui, je me jette des fleurs). C'est onctueux et plutôt agréable en bouche.

D'ailleurs, comme dit plus haut, ces ingrédients, tu peux les retrouver notés sur les emballages des produits, avec même leur provenance, pour une totale transparence. Tu peux aussi les trouver sur le site internet. Je te donne l'exemple de la moussaka d'agneau qui est quand même archi méga frappant : il y a des étoiles partout indiquant que tous les ingrédients sont issus de l'agriculture biologique.

En plus de ça, les contenants sont plutôt pratiques, en émettant tout de même une petite réserve. Alors oui, les bols sont faciles à transporter et ont une ouverture assez large pour permettre à bébé d'apprendre à manger tout seul quand l'heure est venue. Oui, le bol peut se refermer pour se conserver 48h, mais... justement le bol n'est pas refermable. Je t'avoue que c'est vraiment pour faire ma casse-petons, car ma fille étant un estomac sur pattes, elle n'en a jamais laissé une miette. Et s'il en reste, il te suffit de verser le reste dans un autre récipient.

Concernant les céréales à ajouter dans le biberon (3 cuillères pour 210 mL) ou dans une assiette pour manger comme un grand (7-8 cuillères pour 210 mL), là j'ai été un peu embêtée par la présentation : il s'agit d'un sachet, alors hop je l'ai refermé avec une pince piquée à ma Moman. A côté de ça, je n'ai observé aucun problème de grumeaux, et ma Crapouille a avalé son biberon en 2 temps 3 mouvements, comme d'habitude.

Les produits Babybio sont vendus en magasin bio, mais aussi en grandes et moyennes surfaces, et en pharmacie. Et d'expérience personnelle, ils sont assez faciles à trouver.

• On récapépète.

• Les Etincelles :

- du bon,

- du beau, (niveau compo),

- du bio,

- une grande transparence de la marque avec l'indication de la provenance de ses ingrédients sur les emballages,
- aucun problème de grumeaux avec les céréales,
- des compotes et purées à la texture onctueuse,

- des formats relativement pratiques (à emporter, pour l'apprentissage à manger tout seul),

- un grand choix dans les produits,

- faciles à trouver,

- un site internet clair et bourré d'informations pratiques.

• Les Moins :

- niveau prix, c'est le prix du bio,

- du pas forcément beau, niveau esthétique, mais ce n'est pas ce qui arrête nos loulous.

Alors oui, on peut donner à miamer du bon, du beau et du bio à son Bébé. Babybio l'a fait. Lana a savouré, Maman a apprécié.

Tu connaissais la marque ?